BIOGRAPHIE
LUCIEN ALAIN AOUDIA
BIOGRAPHIE
LUCIEN ALAIN AOUDIA
LA STORY D'ALAIN
INTRODUCTION
un tout le monde que tout le monde ne connait pas forcément …
Au lendemain de mes cinquante ans, j’ai l’impression que celle-ci a filée à toute vitesse, voire de manière incompréhensible et incontrôlable !
Mon ambition et mon envie d’entreprendre, reste toujours intacte malgré tout.
En conséquence, je vous souhaite de prendre la vie et les aléas qui en découlent comme un jeu, histoire de rire de la vie et de vivre heureux avec votre connaissance pour la vie.
Je suis un entrepreneur, à vocation sociale et écologique : deux thèmes qui me touchent au plus haut point. Au cours des années, nous avons développé un réseau de partenaires industriels dans le but de nous accompagner dans ces aventures diverses.
J’appartiens au signe astrologique du Cancer, sûrement ce qui explique ma volonté à respecter un professionnalisme excessif. Qualité ou défaut ? A chacun de se faire son idée. J’apprécie la récurrence en affaires, afin de développer de nouvelle aventure.
Ces relations pérennes font suite à une recherche de valeurs humaines, avec une connaissance des domaines concernés ce qui évitent le lourd travail d’évangélisation à chaque nouveau projet, sans omettre un qualificatif important, la confiance.
Quelle que soit notre relation, mes principes sont toujours basé sur l’honnêteté, et non par code déontologique.
Dans la lignée de cette valeur, je demeure toujours fidèle à moi-même, sans faux-semblant. Vous avez maintenant les grands traits de ma personnalité. Permettez moi maintenant passer à l’aspect plus “pratique” de mon parcours.
“Vos documents ont été lus en diagonale, mais tout va bien !” Ce que je déteste entendre
LA STORY D'ALAIN
INTRODUCTION
un tout le monde que tout le monde ne connait pas forcément …
Au lendemain de mes cinquante ans, j’ai l’impression que celle-ci a filée à toute vitesse, voire de manière incompréhensible et incontrôlable !
Mon ambition et mon envie d’entreprendre, reste toujours intacte malgré tout.
En conséquence, je vous souhaite de prendre la vie et les aléas qui en découlent comme un jeu, histoire de rire de la vie et de vivre heureux avec votre connaissance pour la vie.
Je suis un entrepreneur, à vocation sociale et écologique : deux thèmes qui me touchent au plus haut point. Au cours des années, nous avons développé un réseau de partenaires industriels dans le but de nous accompagner dans ces aventures diverses.
J’appartiens au signe astrologique du Cancer, sûrement ce qui explique ma volonté à respecter un professionnalisme excessif. Qualité ou défaut ? A chacun de se faire son idée. J’apprécie la récurrence en affaires, afin de développer de nouvelle aventure.
Ces relations pérennes font suite à une recherche de valeurs humaines, avec une connaissance des domaines concernés ce qui évitent le lourd travail d’évangélisation à chaque nouveau projet, sans omettre un qualificatif important, la confiance.
Quelle que soit notre relation, mes principes sont toujours basé sur l’honnêteté, et non par code déontologique.
Dans la lignée de cette valeur, je demeure toujours fidèle à moi-même, sans faux-semblant. Vous avez maintenant les grands traits de ma personnalité. Permettez moi maintenant passer à l’aspect plus “pratique” de mon parcours.
“Vos documents ont été lus en diagonale, mais tout va bien !” Ce que je déteste entendre
Je suis né le 7 juillet 19** à Lille, dans le Nord de la France.
Ma mère Lucienne AOUDIA, fille de Hanna Joséphine DOUCHET, s’est mariée en Belgique peu après ma naissance. Il faut nous rappeler d’une certaine époque, où une femme se devait d’être mariée avant d’avoir un enfant. La contraception était encore taboue et mal perçue.
Mon père, M. ARISSKI, est venu de Pologne pour travailler dans les mines de charbon à Hénin- Beaumont (Nord de la France), comme beaucoup de travailleurs immigrés à cette période.
Il est vrai, je ne possède aucun souvenir de ma mère. Lucienne m’aura juste laissé son nom, et très peu de souvenirs de mon père, hormis quelques photos.
La DASS m’a transmis ces mêmes éléments avec quelques documents à mes 26 ans, comme la loi française l’aura permis, à cette période.
J’ai alors découvert l’existence d’un frère, Moïse AOUDIA, de 12 ans mon cadet. Je le connais trop peu. Nos parcours de vie sont différents, ou plutôt trop difficile à accepter tel un miroir pour nous deux, refusant la réalité d’une vie éprouvante.
Plus tard, j’ai également appris à mes 29 ans que mes parents avaient pris la décision de me confier à la DASS, 8 jours après ma naissance. Madame Clef, une assistance sociale et une femme extraordinaire, aura pour mission de me suivre pendant 12 ans.
Je garde d’elle de bons souvenirs malgré tout : touchante et toujours en mémoire. Elle ressemblait à une actrice américaine, bienveillante et coiffée telle une hôtesse de l’air, un tailleur et une jolie jupe plissée.
J’ai d’abord été placé à l’orphelinat de la Rue Déckerme, à Lille, où je suis resté jusqu’à mes 7 ans. Puis, j’ai été déplacé dans une pouponnière de Marcq-en-Baroeul, une ville voisine de Lille, avant d’être de nouveau transféré au Gîte à Tourcoing, au 23 Rue des Carliers proche de la gare des FRANCS, pour ceux qui connaissent. Enfin à mes 16 ans, j’ai rejoint mon dernier établissement sous la tutelle de l’État toujours, situé au 54 Rue Jean-Macé à Roncq, dans le Nord, proche de la frontière belge.
J’ai obtenu un CAP d’aptitude professionnelle en carrosserie et peinture automobile, au lycée professionnel de Marcq-en-Baroeul au 129 rue de la briqueterie. Dans la continuité, j’ai réalisé en apprentissage chez Max DUMOILIN rue Louis FAURE à Lille, pendant deux ans.
Une fois ma majorité presque acquise, j’avais le besoin, plus encore de quitter définitivement l’institution étatique de la DASS.
Pour se faire, j’ai obtenu l’avancement de mon service militaire, par le biais de la gendarmerie du Nord de la France, Boulevard LOUIS XIV.
J’ai ensuite rejoint le 51e régiment d’infanterie à Compiègne, où je suis resté 18 mois au lieu de 12 : la condition *sine qua non* pour pouvoir me libérer de l’enclave de la DASS.
Ce passage sous les drapeaux m’a permis d’acquérir des connaissances scolaires manquantes, de développer une réelle cohésion d’équipe et me permettre également de passer plusieurs permis de conduire.
Il me semble important de réitérer envers la France ou pour la DASS une gratitude sans adjectif.
Ce pays et son institution m’ont pris en charge à une période complexe de ma vie. Je leur en suis forcément redevable et marqué à la fois.
En décembre 1983, après mon service militaire, il était temps pour moi de commencer ma vie professionnelle. L’employeur Max DUMOULIN m’avait recruté durant ma période d’apprentissage et a refusé ensuite de m’embaucher à nouveau, pour des questions de charges salariales, aux vues de ma qualification, pourtant modeste.
A mes 29 ans, ma route croise celle de Patricia Delbecq et de Nicolas DELBECQ, son garçon.
Un jeune garçon de 9 ans, peu de temps après, on me proposera la garde de Nicolas. Ayant connu dans ma jeunesse la vie sous la tutelle de l’État, transféré d’un établissement à un autre et de famille d’accueil le week-end, alors j’ai accepté de prendre ce rôle paternel en quelques sortes, ou comme un accord et sans condition ou obligations.
Concernant Madame Delbecq Patricia, l’histoire en ce qui me concerne et sans épilogue fut de courte durée, Sa mère a gardé ses droits maternels, et le jeune garçon a donc conservé son nom de famille comme il se doit.
Aujourd’hui, Nicolas a 39 ans, il est extrêmement brillant. Nicolas a effectué des études sur mon insistance avec exemplarité, un Master en économie puis un MBA en finance et en développement durable au Canada. Son cursus m’enchante au plus haut point et je peux, en toute confiance prendre appui sur ses compétentes juridiques et financières dans le but de m’accompagner dans des projets divers.
Quoiqu’il en soit je pense que nos enfants quelle qu’ils soient ne nous appartiennent pas.
Nicolas Delbeck a toujours travaillé pendant ses vacances scolaires au sein de mon entreprise pour faire fasse à une partie de ses études.
Je vous souhaite de prendre lecture d’une de mes littératures préférées sur ce thème Khalil Gibran
Nicolas Delbecq à Lille
ACTE II : André DESCAMPS a formé ses vendeurs pour en faire d’excellents démonstrateurs. il vendait ses produits en travaillant directement sur la voiture des clients quand ils venaient se garer sur les parkings des divers points de vente commercial : une force de vente géniale pour démontrer le bénéfice des produits vendus par ce Monsieur, et qui parfois pratiquait le « principe de la terre brûlée. »
Son produit vedette était Le Polish automobile du nom de MAGIC Auto.
Voilà sans aucun doute le produit le plus important pour tout fabriquant de produit automobile, car le plus utilisé dans l’entretien et la protection de véhicule lourd et léger.
A mon sens, le produit vendu par André DESCAMPS possédait une bonne qualité pour être revendu, toutefois j’aspirer à une qualité supérieure pour les parties concernées. André ne pouvait pas vendre de façon assez récurrente son polish pour une clientèle en demande, à savoir les femmes, (pourquoi).
Plus ou moins : les statistiques : il y a plus de femmes que d’hommes sur terre, ce qui laisse prétendre : des ménagères en puissance de plus en plus indépendante, des femmes bien meilleurs automobilistes à en constater les primes d’assurance réclamées à nos Chers conducteurs, et de véritables consommatrices si le produit répond à leurs attentes.
Ce secteur d’activité me passionnait et j’y ai décelé une carence évidente : aucun produit était destiné directement aux conductrices, du moins aucune stratégie marketing ne les ciblait.
J’ai donc décidé, à plus de 30 ans, de prendre une nouvelle voie. Ce fut certainement avec le temps passant la meilleure décision à cette période. Me voici à démarcher à nouveau les hypers et supermarchés pour leur demander un droit de location de travail sur leur parking de magasins.
Mes expériences en animations m’ont permis de très bien connaitre les directeurs d’enseignes, directement ou indirectement.
Le plus dur aura été de revenir aux fondamentaux : avoir l’humilité nécessaire pour accepter de redémarrer à zéro, Caddy en main et suggérant une démonstration à divers clients, tout en ayant ma marque avec ma politique de marketing et de travail extrêmement rigoureuse.
C’est cette aventure qui m’a permis de découvrir le plat pays de Jacques BREL, la Belgique.
Mon travail en extérieur était ponctué parfois avec les intempéries du Nord, mais aussi par les états d’humeurs de clients difficiles, et des démonstrateurs ingérables. J’en ai formé une centaine, chargés de faire connaître ma nouvelle marque de Polish, utilisable tant pour la voiture et pour la maison : Le MARRII-Auto est le produit qu’il vous faut Madame, Monsieur, insert de cheminée, casserole en cuivre et évier dans la cuisine en inox, parois de douche, contre le calcaire, le mobilier en Formica, etc.
Je me permets une parenthèse importante. MARRII-AUTO était un nom plus que particulier. Il me tenait vraiment à cœur, et je l’avoue, j’ai voulu créer un hommage et une forme de gratitude à ma mère d’accueil, Marie ADMASKI COPPENS.
C’était une femme, une vraie maman au cœur énorme. Une Mamie, une vraie dame élégante et courageuse avec des principes très représentatifs des gens du Nord et tellement authentique.
Nos gens du Nord sont vaillants et beau avec une âme. Ce sont des bons Chtimis, des ex poilus, de vrais soldats, des gens honnêtes qui fut le fer de lance et le bras armé de l’économie national de la France. Le charbon pour chauffer ce beau pays tout entier qui fut le nôtre, sans oublier nos belles lainières, BOUSSAC St frère, la VPC, la REDOUTE, le VERT BAUDET ou encore la confection, le groupe MULLIEZ AUCHAN, la liste est tellement longue.
Contrairement à un fameux ex-président, mon empathie tout comme mon amitié restera complète pour ce qu’il a pu appeler « les sans dents ».
Je pouvais rendre visite 2 fois par mois a mamie qui avait 5 enfants, auxquels s’ajoutaient très souvent ceux de la DASS. Elle est partie rejoindre un paradis blanc le 2 septembre 1999. Le mot mercantile ne faisant absolument pas partie de son dictionnaire.
Un an après jour pour jour, je vendais MARRII-AUTO, comme une date providentielle, presque spirituelle comme une date prédestinée comme évoqué par Marie, MARRII-AUTO a été vendu le 2 septembre 2000, 365 jours précisément après son départ. Voilà ce qui provoqua par la suite ma délocalisation sur le territoire Helvétique, dans le canton de Vaud.
Revenons à nos moutons. Nous savons qu’il y a plus de femmes au volant que d’hommes OK.
A une époque où la femme s’émancipait, elles étaient de plus en plus présentes dans les magasins de bricolage. Un atout pour mes démonstrateurs, formés de manière drastique voire militaire comme évoqué par mes bons soins.
J’achetais à l’époque mon produit à la firme Leka-Products, située à Pfungstadt en Allemagne, à 40 kilomètres de Frankfurt. J’ai alors proposé aux deux propriétaires de l’usine de fabriqué un Polish de très bonne qualité et ainsi d’obtenir une participation en tant qu’actionnaire minoritaire. Avec l’accord de mes deux co-actionnaires, j’ai pu développer une gamme très complète et faire référencer, le MARRII-AUTO dans plus de 389 points de ventes en France, exclusivement en magasin de bricolage.
En trois ans, j’ai ainsi réussi, je pense à développer une gamme complète de produits MARRII-AUTO pour l’entretien des véhicules et de la maison grâce à un bon marketing et une communication bien entendue agressive. Nous avons aussi fait évoluer le nombre de mes salariés et des référencements en GMS de bricolage. Le MARRII-AUTO a également été commercialisée sur certaines chaines de Télé-Achat, RTL9 en Allemagne ce qui a permis d’asseoir la notoriété et toute la crédibilité auprès des utilisateurs de mon MARRII-AUTO et de mes futurs clients.
Avec l’accord de mes deux partenaires, j’ai pris la décision de vendre en septembre 2000, pour donner suite à une proposition d’achat, en faveur d’un client russe allemand. Une aide providentiel. Les normes ISO 2002 de fabrication de produits chimiques, ainsi que les composants ISO 2004 mise en place en pratique par l’union Européenne changent notre modèle économique et notre gamme de production à la vente devaient subir de nouvelles obligations une fois de plus, qui ont été contraignantes, je l’avoue pour notre fabrique, mais aussi pour notre réseau de distribution encore en plein développement.
Qui dit vente, dit nouvelle aventure.
La vente de MARRII-AUTO, appelée Europe Polish Compagnie, a été clôturée le 2 septembre 2000 à Bâle en Suisse, avec l’aide de la STG une fiduciaire Baloise.
En conséquence, j’ai dû accompagner, comme cela se fait toujours dans de telles circonstances, toute la vente au niveau du réseau de distribution et de la fabrication : un processus qui a duré quatre ans, une condition importante pour le nouvel acquéreur avec les contacts en GMS et nos obligations comme fournisseur, comme cela se fait toujours.
La cessation de mes participations dans MARRII-AUTO m’a permis de me délocaliser physiquement et fiscalement en Suisse, dans le canton de Vaud. Désormais résident suisse depuis septembre 2000, et ce juste avant la signature des bilatéraux et de l’application dans l’Espace Schengen.
Après cette belle expérience dans le secteur de l’automobile, j’ai constaté que j’étais incapable de rester inactif, j’avais plus simplement encore soif d’expériences.
En 2004 je commence ma dernière aventure en date. J’ai décidé d’entrer dans le domaine des énergies renouvelables dans le Nord de la France pour commencer doucement et sûrement.
Ce domaine m’a toujours attiré. Nous avions déjà installé des panneaux solaires sur notre usine de production du fameux MARRII-AUTO en Allemagne dix-sept ans auparavant. Il faut noter que l’Allemagne est un pays très en avance sur les énergies renouvelables, ce pays développe depuis plus de vingt ans les énergies fossiles et solaires etc.
Dans la foulée, le 22 novembre 2005, Bruno VANHOVE, un ami de longue date, de Lille, est venu à moi pour me demander de créer ensemble une société informatique.
VB2S est née à Roubaix. La société était la première à commercialiser un logiciel de 3D référencé dans plusieurs grandes enseignes telles que les 3 suisses, La Redoute, et de nombreuses sociétés actives dans la vente en ligne…
La société a été vendue le 31 juillet 2008. Mon rôle, dans cette société était simplement d’investir en participant à une belle aventure et l’accompagnent avec un vieil ami.
ACTE IV : L’ÉNERGIE RENOUVELABLE
J’ai commencé en 2007 à développer nos premières installations photovoltaïques sur le territoire français, en louant à des agriculteurs leurs toitures pour y placer mes panneaux solaires.
Une démarche liée au Grenelle de l’environnement de Monsieur BORLOO, Ministre de l’Ecologie à cette date, sous la tutelle de l’Union européenne, une fois de plus.
En 2010, les lois changent soudainement pour les nouvelles infrastructures solaires et la revente de l’énergie à EDF. Ce processus s’est accompagné d’un moratoire de plus d’un an. A ce titre, de nombreuses entreprises ont étaient obligées contraintes de déposer le bilan.
• EDF se prépare à envoyer des équipes et du matériel au Japon
Le PDG d’EDF à l’époque, Monsieur PROGLIO, avait d’ailleurs réalisé un communiqué de presse écrit et TV à ce sujet, le 10 mars 2010.
Oui effectivement, la France était sur le point de constater, un vieil adage : c’est le chien qui se mord la queue ! Être actionnaire, tout en finançant les centrales nucléaires et solaires, en dérogeant aux divers amortissements et financements une fois de plus du nucléaire en déroute.
Alors, le constat était bien présent, être victime, pour subir ensuite un nombre d’installations solaires suffisante et capable de déstabiliser les coefficients mise en place de consommation nucléaire ou, et principalement d’une rentabilité possible se trouve mise en cause tout simplement.
• Mise en œuvre de la loi NOME : EDF
J’ai donc à nouveau dû exploiter mon expérience afin de trouver une solution de secours. A cette époque, j’ai commencé à développer quelques opérations immobilières au Maroc. Et c’est là-bas, à Marrakech précisément, qu’il m’a été possible de rencontrer, quelques mois plus tard, M. Christian VOOS, gérant de la société VDI en Belgique, en région wallonne.
• Énergie solaire photovoltaïque et transition énergétique®
Il m’a alors proposé de travailler ensemble pour implanter des panneaux photovoltaïques en région. Une démarche intéressante corrélée au décret législatif belge en vigueur pour une indépendance énergétique indispensable pour le secteur privé, dans un pays où la population et sa consommation étaient en pleine croissance déjà en 2009 (comme partout ailleurs en Europe).
Nous étions en septembre 2009. Notre force sur ce modèle économique était d’offrir l’installation solaire photovoltaïque à nos clients (via un tiers investissement éventuellement). La société ELIA se portait alors garant des paiements des CV (Certificat Vert).
Le CV (Certificat vert) était également négociable sur un marché de gré à gré. Le pollueur étant le payeur et de cette façon la boucle fut bouclée. Nous avons décidé pour se faire d’obtenir l’usufruit des différentes toitures, générant une production énergétique et muni d’un contrat de rétrocession par nos divers clients.
Un deal gagnant/gagnant. Le fournisseur d’électricité belge, nous paye directement la production générée sous forme de CV. Ainsi, pour chaque MWh produit, environ 7 CV, nous étaient octroyés avec un prix de rachat garanti et au prix plancher de 65€ par titre, sous la coupe d’un décret législatif.
Nous avons développé un parc solaire de 4000 concessions photovoltaïques, sur lesquelles nous avions l’usufruit de la production énergétique. Le processus fut réalisé en amont, dans le respect des conditions « Minimis européennes », garantissant le paiement par les instances compétentes en Belgique.
• L’application de la règle de minimis
• NOTICE EXPLICATIVE Les aides «de minimis»
• Qu’est-ce qu’une aide de minimis ?
• Règlement de minimis général
La potentialité commerciale en Belgique était d’1 milliard d’euros à cette période. Enfin, le fruit du partenariat mis en place en Belgique me permettra ensuite d’acquérir un bon modèle économique, énergétique : un parc éolien en Grèce vendu en 2015 à une société Suisse spécialisée dans l’énergie et les produits pétroliers.
Avoltavi Sàrl a était créé en septembre 2012 dans le canton de Fribourg à Bulle, précisément à Avenue de la Gare N° 10, 1630 Bulle. www.bulle.ch
Fort de notre croissance, nous avons installé une succursale avec une nouvelle zone de stockage et un Showroom dans le canton de Vaud, à Lully (Morges). https://lully.ch/
Nous sommes spécialisé aujourd’hui sur l’implantation de panneaux solaires photovoltaïques de différentes marques, mais principalement allemand. Toute la partie administrative concernant les pompes à chaleur est à notre entière charge et responsabilité, tout comme les demandes des différents subsides en faveur de notre clientèle.
1) Subventions en matière d’énergies renouvelables et d’économie d’énergie
3) Subventions et autres transferts liés à l’environnement
Nous nous occupons également de mettre à jour les anciens tableaux électriques pour la mise aux normes, des batteries de stockages et des bornes électriques sans engagements/abonnements, pour voiture de marque diverses accompagné de solutions de paiements pour le privé ou le citoyen helvétique. Une exclusivité AVOLTAVI, en Suisse avec notre succursale administrative. https://www.etoy.ch/cms/
Nous développons actuellement un projet de compensation carbone 2.0:
Mes objectifs : restent largement à considérer, nos ambitions en énergie et en produits financiers restent non pas ambitieux, Juste plutôt secret à ce moment précis de cette étape.
Pour terminer, chaque entreprise est avant tout une aventure volontaire et humaine. Depuis quelques années, j’ai décidé pour poursuivre mes activités dans le domaine des énergies renouvelables. Comme étant une façon pour moi de m’engager à mon échelle sur le plan écologique.
Les nouvelles énergies deviennent (ou sont déjà) indispensables à cause du dérèglement climatique. La transition énergétique est incontournable et les énergies alternatives marqueront l’histoire avec ou sans vous !
Saint-Exupéry disait : « Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants ».
Lucien AOUDIA